Durée : 156mn

Avec Vanessa Kirby, Rebecca Ferguson, Simon Pegg, Ving Rhames, Hayley Atwell, Tom Cruise

Ethan Hunt et son équipe de l’IMF se lancent dans leur mission la plus périlleuse à ce jour : traquer une effroyable nouvelle arme avant que celle-ci ne tombe entre de mauvaises mains et menace l’humanité entière. Le contrôle du futur et le destin du monde sont en jeu. Alors que les forces obscures de son passé ressurgissent, Ethan s’engage dans une course mortelle autour du globe. Confronté à un puissant et énigmatique ennemi, Ethan réalise que rien ne peut se placer au-dessus de sa mission - pas même la vie de ceux qu’il aime.

Bonus : Blu-Ray du film : Commentaire audio de Christopher McQuarrie et Eddie Hamilton, bande originale isolée. Blu-Ray des bonus : "Abu Dhabi" : exploration des lieux de tournage exotiques d’Abu Dhabi, "Rome" : coulisses de la course-poursuite dans la capitale italienne, "Venise" : découverte d’une facette de Venise et entrainement des acteurs, "En Chute libre" : coulisses de l’une des plus grandes cascades de l’histoire du cinéma, "Le Speed Flying" : Tom Cruise et l’équipe du film évoquent l’entraînement nécessaire à la réalisation des cascades aériennes du film, "Le Train" : tournage de la scène du train, construction du train, séquence de combat sur le train en mouvement, collision créée à l’aide d’effets spéciaux.

Critique presse

"Deux heures quarante-six d’un spectacle qui ne désarme guère, quelques scènes de suspense ou d’action brillamment mises en scène, un couple qui s’effleure et se défie, une entité métaphysique sortie de nos propres mains, et qui n’en veut pas moins notre peau, voilà sans doute des ingrédients connus, mais suffisamment bien agencés pour faire filer deux heures quarante de notre temps comme un éclair."
Le Monde - Jacques Mandelbaum

"Sans doute ce que vous verrez de mieux cette année en matière de blockbuster hollywoodien. Sur tous les fronts, Tom Cruise/Ethan Hunt se met en scène dans des scènes d’action ahurissantes mais continue surtout d’écrire sa propre légende. Celle d’un héros à l’ancienne qui se frotte à son époque."
La voix du Nord - Christophe Caron

Durée : 110mn

Avec Cyprian Grabowski, Ewa Kasprzyk, Kamila Urzedowska, Robert Gulaczyk, Miroslaw Baka, Sonia Mietielica

Au XIXème siècle, dans un village polonais en ébullition, la jeune Jagna, promise à un riche propriétaire terrien, se révolte. Elle prend son destin en main, rejette les traditions et bouleverse l’ordre établi. Commencent alors les saisons de la colère…

Critique presse

"La peinture d’un patriarcat impitoyable et d’un monde marqué par l’intolérance et l’obscurantisme."
Nathalie Chifflet - Le Dauphiné Libéré

"Malgré la lenteur du récit et son austérité exigeante, on se laisse embarquer, hypnotiser même, par cette fresque naturaliste au rythme des saisons, d’un automne aux couleurs dorées avec ses promesses portées par des oiseaux en pleine migration, à un été au dénouement plus brutal sous la lumière crue d’un soleil zénithal, terrassé par la chaleur et le labeur des moissons."
Le Figaro - Valérie Beck

"Peut-être encore plus bluffant que "La passion Van Gogh", ce nouveau film marque la rétine avec son récit édifiant et féministe et ses peintures à l’huile mouvantes qui s’animent comme par magie."
Le Parisien - Renaud Baronian

Durée : 99mn

Avec Stephen Hughes, Angela Rabello, Roberta Wallach, Abel Ayala, Tony Ramos, Jeff Goldblum

Un journaliste de musique new-yorkais mène l’enquête sur la disparition, à la veille du coup d’Etat en Argentine, de Francisco Tenório Jr, pianiste brésilien virtuose. Tout en célébrant le jazz et la bossa nova, le film capture une période éphémère de liberté créatrice, à un tournant de l’histoire de l’Amérique Latine dans les années 60 et 70, juste avant que le continent ne tombe sous le joug des régimes totalitaires.

Bonus : Entretiens, making of.

Critique presse

"Passionnant, émouvant, commencé comme un hommage à la musique - dont on dit qu’elle adoucit les mœurs -, "They Shot the Piano Player" invente un genre inconnu, le thriller documentaire animé politique et musical."
Positif - Bernard Génin

"Le tour de force des cent et quelques minutes de cinéma d’animation rêvées par Fernando Trueba et Javier Mariscal repose sur l’expérience sensorielle d’un univers enfui, sur l’invincibilité de la musique, et sur le témoignage historique et politique d’un monde dominé par le totalitarisme."
Bande à part - Olivier Pélisson

"En plus d’interroger le sens et la forme de sa reconstitution, "They Shot the Piano Player" présente avec beaucoup de finesse et de sensibilité une page trop courte de l’histoire de la musique. Une bulle désenchantée, qui doit beaucoup à la performance investie de Jeff Goldblum."
Ecran Large - Antoine Desrues

Durée : 120mn

Années 2100. Les humains ont colonisé une bonne partie de la galaxie. Dans cet immense espace, la guilde des Crushers, réunie en Conseil, se charge, moyennant paiement, des travaux les plus difficiles et dangereux : terraforming, transport, destruction d'astéroïdes, nettoyage et repérage de couloirs spatiaux... Malgré la nature souvent rude des tâches qui leur sont confiés, les Crushers obéissent à une poignée de règles strictes : pas de missions illégales ou non éthiques, et toute mission est menée à son terme, coûte que coûte...

Bonus : Contient le DVD du film.

Durée : 4h28

Avec Theodor Loos, Gertrud Arnold, Hanna Ralph, Margarete Schön, Paul Richter

Siegfried, fils unique du roi des Pays-Bas, se met en route pour obtenir la main de la belle Kriemhild de Bourgogne. 2 parties : La mort de Siegfried / La vengeance de Kriemhilde.

Bonus : "Malheur au peuple qui a besoin de héros, à propos des Nibelungen" : documentaire de Bernard Eisenschitz, historien et spécialiste de Fritz Lang (2007), "Les Nibelungen, échos de leur temps" : analyse des références historiques par William Blanc, historien (2024), "L’Héritage des Nibelungen" : documentaire de Guido Altendorf et Anke Wilkening (2011), Analyse de séquences par Louise Dumas, critique de cinéma (2024).

Durée : 113mn

Avec Megan Gay, Julia Jentsch, Janet McTeer, Axel Milberg, Barbara Sukowa, Nicholas Woodeson

1961. La philosophe juive allemande Hannah Arendt est envoyée à Jérusalem par le New Yorker pour couvrir le procès d’Adolf Eichmann, responsable de la déportation de millions de juifs. Les articles qu’elle publie et sa théorie de "La banalité du mal" déclenchent une controverse sans précédent. Son obstination et l’exigence de sa pensée se heurtent à l’incompréhension de ses proches et provoquent son isolement.

Bonus : Entretien avec Margarethe Von Trotta, documentaire sur Hannah Arendt, bandes-annonces.

Critique presse

"Privilégiant le portrait sur la biographie, c'est à travers les multiples regards (...) qui se posent sur la célèbre philosophe que la réalisatrice restitue la personnalité fascinante d'Hannah Arendt."
Le Monde - Noémie Luciani

"En se concentrant sur les années au cours desquelles "Hannah Arendt" a écrit sur le criminel de guerre Eichmann, Margarethe von Trotta livre un renversant portrait de femme avec B. Sukowa, méconnaissable."
Les Fiches du Cinéma - Isabelle Danel

Durée : 7h17

Avec Anita Mui, Alex Man, Maggie Cheung, Leslie Cheung, Elaine Jin, Sau Lan Chow

4 films : Amours déchus / Rouge / Center stage (Director's cut) / Lan Yu.

Bonus : "Yang ± Yin: Gender in chinese cinema" (1996 - 80mn) : documentaire réalisé par Stanley Kwan, 2 entretiens menés et réalisés par Yves Montmayeur : "Un cinéma des genres made in HK par Stanley Kwan" et "Maggie Cheung par... Maggie", 2 entretiens avec le réalisateur Stanley Kwan, un entretien inédit avec le critique de cinéma Paul Fonoroff, le making of de "Lan Yu", 4 bandes-annonces originales, bande-annonce de la rétrospective "Stanley Kwan, le romantisme made in Hong Kong".

Informations complémentaires :
"Amours déchus", "Rouge", "Center Stage" et "Lan Yu" mêlent une mélancolie majestueuse à des réflexions complexes sur l’histoire, la société et la politique chinoise et hongkongaise. Cinéaste à l’homosexualité revendiquée, sensible aux désirs et aux luttes des femmes, Stanley Kwan offre à travers ses films des vitrines de choix aux grands noms du cinéma hongkongais de l’époque, comme Maggie Cheung, Leslie Cheung ou Tony Leung Chiu-wai.

Durée : 112mn

Avec Megan Stevenson, Matthew Del Negro, Galadriel Stineman, Dylan Baker, Steve Zahn, John Magaro

Quand Ray découvre que sa femme le trompe, il décide de mettre fin à ses jours. Il se gare sur le parking d’un motel. Mais au moment de passer à l’acte, un inconnu fait irruption dans sa voiture, pensant avoir affaire au tueur qu’il a engagé.

Critique presse

"Shane Atkinson [...] réussit surtout le pari de nous faire rire de la tragédie des mœurs américaines, tout en distillant une leçon de vie sur la façon dont ce risible individualisme efface dangereusement les frontières entre bien et mal."
Culturopoing.com - Frédérique Lambert

"Un thriller truffé d’humour noir totalement réussi et réjouissant."
aVoir-aLire.com - Fabrice Prieur

"Une épatante comédie noire, sous l’influence manifeste des frères Coen."
Télérama - Yohan Haddad

Durée : 95mn

Avec Gad Abecassis, Céline Groussard, Marc Riso, Alice Belaïdi, Clovis Cornillac, Artus

Pour échapper à la police, un fils et son père en cavale sont contraints de trouver refuge dans une colonie de vacances pour jeunes adultes en situation de handicap, se faisant passer pour un pensionnaire et son éducateur spécialisé. Le début des emmerdes et d’une formidable expérience humaine qui va les changer à jamais.

Critique presse

""Un p'tit truc en plus" instaure une complicité entre le faux invalide et les vrais handicapés. Le reste du film est à la fois gonflé, drôle et très touchant."
Le Parisien - Catherine Balle

"Pour son premier film, Artus réussit à faire rire et à émouvoir en évitant les clichés, se moquant de nos propres ambivalences sans jamais donner de leçons."
Elle - Julia Dion

Durée : 113mn

Avec Vinicio Marchioni, Giorgio Colangeli, Emanuela Fanelli, Romana Maggiora Vergano, Valerio Mastandrea, Paola Cortellesi

Mariée à Ivano, Delia, mère de trois enfants, vit à Rome dans la seconde moitié des années 40. La ville est alors partagée entre l’espoir né de la Libération et les difficultés matérielles engendrées par la guerre qui vient à peine de s’achever. Face à son mari autoritaire et violent, Delia ne trouve du réconfort qu’auprès de son amie Marisa avec qui elle partage des moments de légèreté et des confidences intimes. Leur routine morose prend fin au printemps, lorsque toute la famille en émoi s’apprête à célébrer les fiançailles imminentes de leur fille aînée, Marcella. Mais l’arrivée d’une lettre mystérieuse va tout bouleverser et pousser Delia à trouver le courage d’imaginer un avenir meilleur, et pas seulement pour elle-même.

Critique presse

"Pas étonnant que la jeune génération italienne ait été particulièrement sensible à Il reste encore demain. Se déploie au fil du film l’intelligence redoutable d’une femme – devant et derrière la caméra – qui va déjouer les pièges d’un système patriarcal et vieillissant en multipliant les faux-semblants."
CinemaTeaser - Emmanuelle Spadacenta

"Avec ce film qui trouve le juste équilibre entre rire et larmes, Paola Cortellesi signe le retour de la grande comédie italienne, celle qui parle de la réalité."
Le Point - La Rédaction

"Jouant sur une lueur d’espoir tangible, dans le tunnel du patriarcat, Cortellesi, dupe de rien, ose tout et fait mouche."
L'Obs - Isabelle Danel

Durée : 87mn

Avec Laurence Côte, Arcadi Radeff, Louise Chevillotte, Nora Hamzawi, Léa Drucker, Alex Lutz

André Masson, commissaire-priseur dans la célèbre maison de ventes Scottie’s, reçoit un jour un courrier selon lequel une toile d’Egon Schiele aurait été découverte à Mulhouse chez un jeune ouvrier. Très sceptique, il se rend sur place et doit se rendre à l’évidence : l’oeuvre est authentique, un chef-oeuvre disparu depuis 1939, spolié par les nazis. André voit dans cette découverte le sommet de sa carrière, mais c’est aussi le début d’un combat qui pourrait la mettre en péril. Heureusement, il va être aidé par son ex-épouse et collègue Bertina, et par sa fantasque stagiaire Aurore...

Bonus : Entretien avec Pascal Bonitzer par Philippe Rouyer.

Critique presse

"Un scénario bien ficelé sur un sujet inattendu, des dialogues savoureux, une mise en scène classique, mais efficace, et un beau casting font de ce dernier film de Pascal Bonitzer un moment à la fois instructif et divertissant."
Franceinfo Culture - Laurence Houot

"On retrouve les dialogues en forme de douche écossaise chers au cinéaste, notamment dans la scène d’ouverture, un modèle du genre. Et puis il y a cette galerie de personnages – ex-femme, avocate… –, dont Bonitzer ne divulgue pas tous les secrets mais qui, chacun à leur manière, servent le film et en majorent l’intérêt."
L'Obs - Sophie Grassin

"Servi par une belle distribution, ce film permet de découvrir Nora Hamzawi dans un registre inattendu. Elle est tout bonnement irrésistible en avocate de province gauche. Il confirme les talents de Louise Chevillotte, merveilleuse mythomane, et d'Arcadi Radeff, bouleversant en ouvrier dépassé par les événements."
Le Point - La Rédaction

Durée : 103mn

Avec Maxence Tual, Noémie Zeitoun, Alison Wheeler, Salif Cissé, William Lebghil, Agnès Jaoui

Pierre, 33 ans, fleuriste à succès, voit sa vie basculer lorsque sa mère, Judith, fantasque et excessive, débarque dans sa vie après deux ans sans se voir. Pierre n’a qu’une idée, reprendre le cours normal de sa vie, mais rien ne se passe comme prévu. Leurs retrouvailles, aussi inattendues qu’explosives, vont transformer Pierre et Judith à jamais.

Bonus : Scènes coupées.

Critique presse

"Cette chronique tragi-comique trouve le ton juste pour parler de la bipolarité et de ses conséquences sur tout l’entourage. Et nous fait joliment passer du rire aux larmes et réciproquement."
Bande à part - Isabelle Danel

"Une comédie dramatique de la réconciliation, sensible et admirable."
Télérama - Guillemette Odicino

"Portée par le duo irrésistible d’Agnès Jaoui et de William Lebghil, cette comédie récompensée par le prix du public au Festival du film francophone d’Angoulême aborde avec finesse la maladie mentale."
La Croix - Corinne Renou-Nativel

Durée : 102mn

Avec Océane Cairaty, Camille Léon-Fucien, Jehnny Beth, Lucie Zhang, Makita Samba, Noémie Merlant

Paris 13e, quartier des Olympiades. Emilie rencontre Camille qui est attiré par Nora qui elle-même croise le chemin de Amber. Trois filles et un garçon. Ils sont amis, parfois amants, souvent les deux.

Bonus : Interview avec le réalisateur et les acteurs.

Critique presse

"Dans un somptueux noir et blanc, Jacques Audiard use d'une mise en scène mouvante et fluide, presque chorégraphique, qui sublime les petits riens du quotidien, les gestes, les regards, les hésitations, les désirs, les frustrations, les maladresses, les états d'âmes de ses personnages qu'il filme avec générosité, sans les juger ni les bousculer."
CNews - La rédaction

"Tourné dans un somptueux noir et blanc, ce film à la fois ludique et émouvant sur les sentiments et attirances à géométrie variable, séduit grâce à son invention esthétique qui sublime aussi bien les situations ordinaires que les nombreuses séquences sensuelles, filmées avec une intensité brûlante."
Les Echos - Olivier De Bruyn

"Naviguant entre vivacité et désordre, le réalisateur interroge les nouvelles conventions de la vie amoureuse. Un film vif, interrogatif et instructif."
Bande à part - Olivier Bombarda

"Quand Jacques Audiard s’attaque à un genre nouveau, la comédie, non seulement il atteint son objectif avec grâce et délicatesse, mais en plus il grandit le cinéma d’amour."
aVoir-aLire.com - Laurent Cambon

Durée : 108mn

Avec Jean-Luc Boucherot, Denzel Rodriguez, Lauren Lakis, André "André 3000" Benjamin, Hong Chau, Michelle Williams

A quelques semaines du vernissage de son exposition, le quotidien d’une artiste et son rapport aux autres. Le chaos de sa vie va devenir sa source d’inspiration…

Bonus : 2 courts métrages de Kelly Reichardt : "Bronx, New York, novembre 2019" / "Cal State Long Beach, CA, janvier 2020" dans le cadre de la collection "Où en êtes-vous" initiée par le Centre Pompidou.

Critique presse

"De la pluralité des expériences, de la confrontation des points de vue, de la friction des récits et de leur réversibilité, Reichardt tire une fois de plus un film immensément humain qui s'incarne aussi bien dans sa générosité et la richesse de son propos que dans la sécheresse de son apparat."
La Septième Obsession - Lucas Charrier

""Showing up" est une satire empathique d'une communauté bohème arty, avec ses ateliers, ses vanités, ses ridicules. Kelly Reichardt se moque, mais jamais de façon ricanante, jamais en surplomb. Elle ne se cache pas d'appartenir à ce monde, celui des créateurs, qu'ils soient géniaux ou pathétiques."
Le Figaro - E.S.

Durée : 125mn

Avec Henry Travers, Thomas Mitchell, Lionel Barrymore, Donna Reed, James Stewart, Beulah Bondi

Après le décès de son père, George Bailey est contraint de reprendre l’entreprise familiale et d’abandonner ainsi ses grands rêves. Entrant en conflit avec Potter, l’homme le plus puissant de la ville, il ne cesse de se battre pour venir en aide aux déshérités. Un Noël, George est au bord du suicide quand l’ange Clarence apparaît, ce dernier lui montrera le bien que le pauvre héros déploie sur les gens qui l’entourent...

Bonus : Restauration d'un classique apprécié, Secrets bien gardés : la vie est belle, La fête de fin de tournage est belle.

Durée : 110mn

Les films primés en 2023 à Annecy, le plus grand festival de cinéma d'animation du monde ! 9 courts métrages.

Bonus : 5 courts métrages des Gobelins, Affiche animée 2023, Film d'ambiance Annecy 2023.

Informations complémentaires :
- "Ile", de Michael Faust (2023, 7mn) :
Sur la durée de plusieurs millénaires, l’histoire d’une petite île isolée portant une leçon révélatrice sur la nature humaine.

- "Eeva", de Morten Tsinakov et Lucija Mrzljak (2022, 16mn) :
Il pleut à verse à l'enterrement. Il y a beaucoup de larmes, trop de vin, plusieurs pics-verts et quelques rêves pour combler les vides.

- "Mano", de Toke Ringmann Madsen (2023, 7mn) :
Pris au piège d'une situation de négligence parentale, un fils aîné protecteur s'occupe de son jeune frère, mais confronté à cette mère défaillante, il est amené à prendre une décision irréfléchie.

- "Drijf", de Levi Stoops (2023, 15mn) :
A la dérive en pleine mer, deux personnes mènent une bataille sanglante pour leur survie et celle de leur relation.

- "In Heaven Blue ? #2", de Menno De Nooijer et Paul De Nooijer (2023, 17mn) :
Ce qui était jeune devient vieux, ce qui était sain est malade. L'incertitude s'insinue. Ce qui avait commencé fort, termine dans la mélancolie. A cet égard, c'est un adieu.

- "27", de Flóra Anna Buda (2023, 10mn) :
Alice a vingt-sept ans aujourd’hui. Même si elle étouffe un peu, elle vit toujours chez ses parents et a tendance à vivre dans ses rêves pour échapper à son morne quotidien. Après une fête psychédélique sur un toit d’usine, en état d'ébriété, elle a un grave accident de vélo.

- "Nun or Never", d'Heta Jäälinoja (2023, 10mn) :
Une nonne déterre un homme et perd pied dans sa vie quotidienne. Les secrets et l’harmonie peuvent-ils coexister ?

- "La saison pourpre", de Clémence Bouchereau (2023, 9mn) :
Sur une île au bord de la mangrove, des filles vivent au rythme du climat. Héloïse, la plus petite, découvre timidement son nouvel environnement.

- "Havnesjefen", de Mia L. Henriksen et Konrad Hjemli (2022, 7mn) :
Le "Harbourmaster" raconte l'histoire vraie de son cygne titulaire, et comment il passa du statut d'icône chérie d'une petite ville au rang de criminel recherché.

Durée : 111mn

Avec Babetida Sadjo, Ethelle Gonzalez Lardued, Catherine Salée, Monia Benboutcha, Fabrizio Rongione, Lubna Azabal

Amal, enseignante dans un lycée à Bruxelles, encourage ses élèves à s’exprimer librement. Avec ses méthodes pédagogiques audacieuses et son enthousiasme, elle va bouleverser leur vie. Jusqu’à en choquer certains. Peu à peu Amal va se sentir harcelée, menacée.

Bonus : Entretien avec le réalisateur.

Critique presse

""Amal" démonte remarquablement une mécanique à l’œuvre, terrifiante par sa spirale impossible à enrayer. Et fait douloureusement écho aux récents assassinats de Samuel Paty et Dominique Bernard."
L'Obs - Isabelle Danel

"Un film glaçant et nécessaire."
Les Echos - Olivier De Bruyn

"Et ce thriller haletant, réalisé par un ancien journaliste, de s’avérer encore plus dévastateur et tragique que les films récents sur le sujet."
Première - Damien Leblanc

"Avec une actrice convaincante en enseignante passionnée, Lubna Azabal, et une caméra qui donne habilement l’illusion de filmer sur le vif, le film reconstitue avec courage la mécanique délétère de l’intolérance. (...)"
Télérama - Frédéric Strauss

Durée : 146mn

Avec Elina Löwensohn, Martin Scali, Dasha Nekrasova, Guslagie Malanda, George MacKay, Léa Seydoux

Dans un futur proche où règne l’intelligence artificielle, les émotions humaines sont devenues une menace. Pour s’en débarrasser, Gabrielle doit purifier son ADN en replongeant dans ses vies antérieures. Elle y retrouve Louis, son grand amour. Mais une peur l’envahit, le pressentiment qu’une catastrophe se prépare.

Bonus : Entretien avec Bertrand Bonello.

Critique presse

"Surtout, Bertrand Bonello expérimente, tord l’image tout autant que la narration, déroute, à la manière d’un David Lynch, son récit tendant vers un fantastique dérangeant. Sans toujours nous permettre de saisir les tenants et aboutissants de chaque séquence, Bertrand Bonello nous enjoint à parcourir sa Bête en nous laissant porter par nos propres sentiments."
L'Humanité - Pablo Patarin

"Le film manigance son émotion avec une certaine distance, dans une brèche située quelque part entre Cronenberg et Lynch mais qui n’appartient qu’à Bonello. Une brèche devenue un royaume étourdissant de beauté. Là où le désir durera toujours."
Les Inrockuptibles - Arnaud Hallet

Durée : 124mn

Avec Tomoko Tabata, Tsurube Shofukutei, Ippei Shigeyama, Shinobu Chihara, Junko Sakurada, Kiichi Nakai

Ren est une jeune fille dont les parents viennent de divorcer. Son père déménage, et elle doit s'adapter à cette nouvelle vie voulue par les adultes. Révoltée contre le monde des grandes personnes qu'elle interroge avec clairvoyance, elle devra apprendre à grandir et à se réconcilier avec eux au cours d'un cheminement qui l'amènera aux confins de la réalité.

Bonus : Contient le DVD du film. Entretien avec Stéphane du Mesnildot.

Critique presse

"Au lieu de traiter du thème du divorce en dramatisant les étapes successives de la séparation d'un couple face à leur enfant, Somai en fera une force climatique qui dilate les durées habituelles, étire les perspectives des lieux autour d'eux, inscrit dans chaque mot une sourde résonance."
Cahiers du Cinéma - Pierre Eugène

"Par sa beauté triste et la simplicité pourtant virtuose de sa mise en scène, le film de Shinji Somai ressemble aux prémices du meilleur cinéma japonais contemporain. "Déménagement" peut donc être considéré sans excès comme une oeuvre séminale."
Culturopoing.com - Michaël Delavaud

"La caméra de Somai elle-même est entraînée, happée, par le mouvement de ses personnages. Sa prédilection va aux longues prises filées, aux plans-séquences scénographiés, où les acteurs peuvent jouer d'une traite, investir tout l'espace déployé par les aventures du cadre."
Le Monde - Ma. Mt.

Durée : 80mn

Avec Angela Chen, Serena Hu, Clotilde Courau, Olivier Rabourdin, Samuel Kircher, Léa Drucker

Anne, avocate renommée, vit en harmonie avec son mari Pierre et leurs filles de 6 et 7 ans. Un jour, Théo, 17 ans, fils de Pierre d’un précédent mariage, emménage chez eux. Peu de temps après, il annonce à son père qu’il a une liaison avec Anne. Elle nie.

Bonus : Scènes du film commentées par Léa Drucker, Essais casting de Samuel Kircher et Romane Violeau, Leçon de cinéma de Catherine Breillat.

Critique presse

"C’est par le tracé de cette courbe somptueuse d’un amour croissant, allant du naturalisme au fantasme revisité par l’art, puis cette retombée du rêve se heurtant à la réalité que la cinéaste parachève les intentions d’un film inoubliable, poignant et magnifique."
Bande à part - Olivier Bombarda

"C’est toute la beauté retorse de ce film que de nous faire aimer un personnage que tout désigne comme détestable."
Les Inrockuptibles - Jacky Goldberg

"Avec une force plus vertigineuse encore qu’au temps d’Une vieille maîtresse (2007), Breillat filme [le] rapprochement [entre Anne et Théo], en le délestant de toute lourdeur démonstrative [...]."
Cahiers du Cinéma - Yal Sadat

Durée : 125mn

Avec Debora Sodre, Raene Kôtô Krahô, Solane Tehtikwyj Krahô, Luzia Cruwakwyj Krahô, Ilda Patpro Krahô, Francisco Hyjno Krahô

A travers les yeux de sa fille, Patpro va parcourir trois époques de l’histoire de son peuple indigène, au cœur de la forêt brésilienne. Inlassablement persécutés, mais guidés par leurs rites ancestraux, leur amour de la nature et leur combat pour préserver leur liberté, les Krahô n’ont de cesse d’inventer de nouvelles formes de résistance.

Bonus : Entretien avec Renée Nader Messora et João Salaviza.

Critique presse

"En explorant un autre rapport au monde, auquel les Krahôs sont fidèles, le film de João Salaviza et Renée Nader Messora propose aussi un autre rapport au cinéma, immersif et bouleversant."
Le Point - Florence Colombani

"Mêlant combat, signes et mythes, la cinéaste brésilienne Renée Nader Messora et le Portugais João Salaviza dressent le superbe portrait sur trois générations de la communauté indigène des Krahôs, en lutte pour la préservation de leur terre dans le nord-est du Brésil, menacée d’invasion."
Libération - Luc Chessel

"Tourné pendant quinze mois, ce film est davantage qu’un document sur l’histoire d’un peuple et la relation que celui-ci entretient avec sa terre, il porte sur l’avenir."
Courrier International - Joana Moreira

Durée : 114mn

Avec Salim Ameur-Zaïmeche, Kenji Meunier, Philippe Petit, Marie Loustalot, Anne-Christine "Annkrist" Le Goaer, Régis Laroche

Un militaire à la retraite vit dans le quartier populaire des Bois du Temple. Au moment où il enterre sa mère, son voisin Bébé, qui appartient à un groupe de gangsters de la cité, s’apprête à braquer le convoi d’un richissime prince arabe...

Bonus : Entretien avec le réalisateur.

Critique presse

"Dans sa sobriété tragique, "Le gang des Bois du Temple" tranche avec les films des débuts, mais la délicatesse singulière de Rabah Ameur-Zaïmeche demeure attentive à l'élan de vie qui persiste jusque dans la mort [...]."
Cahiers du Cinéma - Romain Lefebvre

"Ce thriller aux accents melvilliens qui s’inspire d’un fait divers survenu en 2014 transcende le film de braquage, le réalisateur de "Wesh wesh, qu’est-ce qui se passe" (2001) s’attachant à dépeindre le quotidien et la touchante amitié qui unit ses protagonistes avec une approche pleine d’humanité."
Le Journal du Dimanche - Baptiste Thion

"Quel magnifique film de hold-up se dit-on, au sortir de la séance. Magnifique de ne surtout pas ressembler à ce que l’on en attend, à l’instar des plus grands "néonoirs". Magnifique, plus précisément, d’être retravaillé de l’intérieur, acclimaté à une donne géographique et sociale, redéfini selon un tempérament artistique."
Le Monde - Jacques Mandelbaum

Durée : 109mn

Avec Eslam Al- Awadi, Mohammed Al Jizawi, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, Haitham Alomari, Mouna Hawa

Jordanie, de nos jours. Après la mort soudaine de son mari, Nawal, 30 ans, doit se battre pour sa part d’héritage, afin de sauver sa fille et sa maison, dans une société où avoir un fils changerait la donne.

Bonus : Court métrage : "Le perroquet" d'Amjad Al Rasheed (2016, 18mn), Entretien avec Amjad Al Rasheed.

Critique presse

""Inchallah un fils" est un premier film de rage et d’espoir, Amjad Al Rasheed un réalisateur surdoué et Mouna Hawa une actrice éblouissante."
Franceinfo Culture - Mohamed Berkani

"Récit, ainsi que le présente son réalisateur, "de survie, d’émancipation et d’espoir", "Inchallah un fils" s’impose comme un plaidoyer puissant, nécessaire et porté par la grâce."
Culturopoing.com - Alexandre Lebrac

"Cette fiction lucide, mise en scène avec sens très affûté du découpage, est une révélation."
L'Obs - Xavier Leherpeur

Durée : 106mn

Avec Hiroyuki Miura, Hazuki Kikuchi, Ayaka Shibutani, Ryûji Kosaka, Ryô Nishikawa, Hitoshi Omika

Takumi et sa fille Hana vivent dans le village de Mizubiki, près de Tokyo. Comme leurs aînés avant eux, ils mènent une vie modeste en harmonie avec leur environnement. Le projet de construction d’un "camping glamour" dans le parc naturel voisin, offrant aux citadins une échappatoire tout confort vers la nature, va mettre en danger l’équilibre écologique du site et affecter profondément la vie de Takumi et des villageois…

Bonus : Entretien avec Ryûsuke Hamaguchi.

Critique presse

"Avec cette fable réaliste, Ryûsuke Hamaguchi donne à sentir l’équilibre sans cesse menacé de nos écosystèmes et de nos existences, et signe un film sublime, récompensé du Lion d’Argent à Venise."
Bande à part - Anne-Claire Cieutat

"Fable écologique d'une beauté saisissante et thriller implacable, dont l'issue, sèche comme un coup de hache, est laissée à l'interprétation du spectateur, ce nouveau film de Ryûsuke Hamaguchi est une merveille, qui propose au spectateur une expérience cinématographique d'un nouveau genre."
Franceinfo Culture - Laurence Houot

"Après "Drive My Car", le réalisateur japonais Ryûsuke Hamaguchi nous éblouit une nouvelle fois avec cette fable écologiste et métaphysique sur la fragilité des choses et des êtres."
La Croix - Céline Rouden

Durée : 82mn

Avec Mathieu Amalric, Vincent Barré, Grégory Gadebois, Pierre Creton, Antoine Pirotte, Manon Schaap

Pierre-Joseph intègre un Centre de Formation et d’Apprentissage pour devenir jardinier. C’est là qu’il rencontre une suite de personnages : Françoise Brown, la directrice, Alberto, son professeur de botanique, Adrien, son employeur, qui vont être déterminants dans son roman d’apprentissage, et l’ouvrir à sa sexualité. Quarante ans plus tard survient Kutta, l’enfant adoptif de Françoise Brown dont il a toujours entendu parler et qu’il n’a encore jamais rencontré… Mais Kutta qui est devenu le propriétaire d’un étrange château semble chercher autre chose qu’un simple jardinier.

Bonus : "Monde est un trou pour moi" : court métrage d’Antoine Pirotte.

Critique presse

"Dans ce récit initiatique, il est question de se délester progressivement du bagage dont on hérite pour se rapprocher de la voix qui parle en soi, […] de prendre de la distance avec sa famille biologique pour constituer une communauté choisie."
Cahiers du Cinéma - Olivia Cooper-Hadjian

"Il en va des films de Pierre Creton comme il en va des saisons, il n’y en aurait pas de moins ou de plus beaux ; ils sont là modestes, beaux à l’écran comme des nuances de couleurs et de sentiments, des successions d’instants filmés dans l’écrin végétal du Pays de Caux (où le cinéaste vit) et qui donnent à voir bourgeonner puis mourir, les hommes, les plantes, les animaux."
Libération - Jérémy Piette

Durée : 137mn

Avec Yo-sep Song, Hee-jin Choi, Si-eun Kim, Doona Bae

Kim Sohee est une lycéenne au caractère bien trempé. Pour son stage de fin d’étude, elle intègre un centre d’appel de Korea Telecom. En quelques mois, son moral décline sous le poids de conditions de travail dégradantes et d’objectifs de plus en plus difficiles à tenir. Une suite d’événements suspects survenus au sein de l’entreprise éveille l’attention des autorités locales. En charge de l’enquête, l’inspectrice Yoo-jin est profondément ébranlée par ce qu’elle découvre. Seule, elle remet en cause le système.

Bonus : Entretien avec la réalisatrice.

Critique presse

"Entre drame et polar, "About Kim Sohee" détaille, à travers les yeux de deux héroïnes pugnaces, les rouages d’un système éducatif et professionnel pervers aux effets dévastateurs. Un film puissant, d’une grande finesse aussi bien dans l’écriture que dans le jeu."
Les Fiches du Cinéma - Julie Loncin

"Une enquête passionnante tirée d’un fait divers qui a défrayé la chronique sud-coréenne."
Le Figaro - Olivier Delcroix

"July Jung signe une œuvre âpre, sans fioritures, et pourtant, par moments, réellement chaleureuse, sur les forçats du service client. Une chronique sociale implacable, précise et documentée, à la construction acrobatique et surprenante."
Les Echos - Adrien Gombeaud

Durée : 115mn

Avec Anna Magnani, Lola Braccini, Tecla Scarano, Gastone Renzelli, Tina Apicella, Walter Chiari

Une femme pauvre de Rome rêve pour sa fille d'une étincelante et lucrative carrière au cinéma. Elle n'hésite pas à dépenser les maigres économies de son ménage, et même l'harmonie familiale, pour que sa fille soit choisie parmi des centaines d'autres pour être la vedette du prochain film d'Alessandro Blasetti. Mais après un certain nombre de désillusions, ses yeux vont s'ouvrir sur la réalité du monde du spectacle...

Bonus : Contient le DVD du film. Entretien avec Gian Luca Farinelli (directeur de la Cinémathèque de Bologne et directeur du Festival Il Cinema Ritrovato), documentaire : La passion d'Anna Magnani, court métrage : Bellissima (2019, 1mn10), bande-annonce.

Critique presse

"Bellissima, c'est enfin la Magnani aux mille visages, belle épuisée aux yeux cernés, survoltée, exubérante, opiniâtre, séductrice, Bovary faussement naïve, mamma abusive qui redeviendra louve quand sa fille en larmes sera moquée, bouleversante et sublime. L'amour d'une mère au superlatif en somme."
Libération - Nathalie Dray

"Bellissima est une comédie grinçante et pathétique, où le petit peuple est la première victime d'une société marchande qui s'apprête à tout falsifier. Un film drôle et triste qui ne tombe jamais dans les rets du sentimentalisme, soit un modèle du cinéma italien au temps où ces deux mots accolés l'un à l'autre voulaient encore dire quelque chose."
Première - Thomas Baurez

Durée : 118mn

Avec Kenzo Kawarasaki, Atsuko Kaku, Atsuo Nakamura

Masuo et sa cousine Ritsuko se rendent sur l'île où vit Terumichi, dont un télégramme leur a annoncé la mort prochaine. Tous trois sont parmi les derniers représentants de la vaste et puissante famille Sakurada. Au cours de la traversée, Masuo se souvient...

Bonus : Préface de Mathieu Capel (spécialiste du cinéma japonais), bande-annonce.

Informations complémentaires :
La Cérémonie déploie l'arbre généalogique de la famille Sakurada comme il déploie l'histoire du Japon d'après-guerre, à travers une série de flashbacks où se dévoilent des relations contournées et d'impossibles filiations. Mathieu Capel

Durée : 130mn

Avec Jessica Chastain, Octavia Spencer, Bryce Dallas Howard, Viola Davis, Emma Stone, Ahna O'Reilly

L’histoire de trois femmes du Mississippi dans les années 60. Skeeter, jeune journaliste de retour dans sa ville natale, décide de donner la parole à deux domestiques noires de la petite ville de Jackson afin de faire exploser toutes les règles de la société ségrégationniste jusque là très présentes. Tout en racontant leurs expériences de femme noire travaillant dans une famille blanche, elles vont lier une très forte amitié, qui va leur donner le courage de dépasser les limites qui régissent leur existence, et les amener à prendre conscience que les frontières sont faites pour être franchies.

Bonus : Clip : The living proof, scènes coupées.

Critique presse

"La générosité de ce film porté par une galerie d'actrices remarquables [...] va bien au-delà des querelles de clocher pour mettre en avant la vie de femmes extraordinaires confrontées à un racisme ordinaire."
20 Minutes - Caroline Vié

Durée : 172mn

Avec Hiroshi Akutagawa, Hideko Takamine, Toshirô Mifune, Yasushi Nagata, Keiko Sonoi, Tamasaburô Bandô

Matsugoro est conducteur de pousse-pousse. Sa vivacité d’esprit et son tempérament optimiste en font une personne appréciée des habitants de sa ville. Un jour, Matsu se porte au secours d’un garçon blessé, Toshio. Les parents, Kotaro et Yoshioko, louent ses services pour transporter le garçon chez le médecin et le ramener. Matsu se prend d’affection pour cette famille. Quand le père de Toshio meurt, Matsu devient comme un père de remplacement pour le garçon, qu’il contribue à élever. Il tombe secrètement amoureux de Yoshioko, mais est conscient qu’il y a un fossé de classe entre eux. Matsu pense qu’il ne sera jamais qu’un conducteur de pousse-pousse pour elle et son fils... 2 films : L'homme au pousse-pousse (1943) / L'homme au pousse-pousse (1958).

Bonus : "Les roues du destin : l'histoire de L'homme au pousse-pousse" réalisé par Ema Ryan Yamazaki (2020).

Durée : 108mn

Avec Annie Girardot, Marie-Hélène Breillat, Jean-Paul Moulinot, Jean Bouise, Claude Cerval, Bruno Pradal

Une histoire d'amour entre un professeur, Danièle, 32 ans, et un de ses élèves Gérard, 17 ans, pendant l'ambiance surchauffée de mai 68. Danièle est une jeune femme enflammée, très engagée politiquement. Les parents de Gérard accusent Danièle de détournement de mineur et portent plainte.

Bonus : Intervention de Georges Pompidou à propos de l'affaire Russier, Interview d'Annie Girardot, Interview d'André Cayatte et du bâtonnier Lussan sur le film et l'affaire, Interviews d'André Cayatte, Annie Girardot et Bruno Pradal.

Durée : 87mn

Avec Alex Lutz, Nicole Calfan, Kenza Fortas, Noémie de Lattre, Jérôme Pouly, Karin Viard

Dans une rame de métro bondée, un homme et une femme se bousculent. Sous le regard amusé des autres passagers, la dispute vire à la joute oratoire, l’un et l’autre rivalisant d’intelligence et d’humour. Quelques instants plus tard, dans les couloirs d’une station, les deux inconnus font l’amour dans un photomaton. Revenus à la surface, ils s’apprêtent à se séparer… Voilà donc, eh bien au revoir, enfin bref… On ne va pas passer la nuit à se dire adieu… Et pourquoi pas ?

Bonus : Bande-annonce.

Critique presse

"Si la rencontre amoureuse a été maintes fois narrée au cinéma, on ressort d'"Une nuit" comme dans un rêve, cherchant à recoller chaque morceau."
Franceinfo Culture - Odile Morain

"A eux deux les acteurs jouent une partition complice qui met le sourire aux lèvres et peut faire couler quelques larmes. Elle donne envie de les retrouver vite, héros du jour ou de la nuit, modeste tandem d’aventuriers ivres de poésie."
Positif - Jacqueline Nacache

"Ce film, aux faux airs de "Quand Harry rencontre Sally" version années 2020, a un charme fou, comme ses protagonistes !"
Public - Marie-Pierre Galinon

Durée : 92mn

Avec François Beukelaers, Hector Camerlynck, Adriana Bogdan, Anouk Aimée, Yves Montand, Michael Gough

Mathias, professeur de linguistique dans l'université d'une petite ville de Flandres, entretient une liaison avec Anne. Devant dispenser un cours magistral loin de son lieu de travail, il prend un train. A sa grande surprise, Anne le rejoint dans le compartiment. Mathias s'endort. A son réveil, la jeune femme a disparu...

Bonus : Court métrage d'André Delvaux : "1001 films", entretien avec Philippe Reynaert et Catherine Delvaux (fille du réalisateur).

Critique presse

«Un film admirable de par sa construction onirique, son exploration de l'imaginaire, les splendides images dont la plastique s'inspire du réalisme fantastique.»
Le Monde

Durée : 115mn

Avec Mathieu Amalric, Lauren Ridloff, Paul Raci, Olivia Cooke, Riz Ahmed, Domenico Toledo

Ruben et Lou, ensemble à la ville comme à la scène, sillonnent les Etats-Unis entre deux concerts. Un soir, Ruben est gêné par des acouphènes, et un médecin lui annonce qu’il sera bientôt sourd. Désemparé, et face à ses vieux démons, Ruben va devoir prendre une décision qui changera sa vie à jamais.

Critique presse

"Finement écrit et mis en scène, le film est porté par d’excellents acteurs, prend son sujet à bras-le-corps et touche au coeur."
Les Fiches du Cinéma - Gaël Reyre

"Une plongée dans les affres de la perception et du handicap dans un film à fleur de peau."
L'Humanité - Vincent Ostria

"Au fil d'une bande son tour à tour explosive et subtile, Darius Marder livre un récit captivant où l'émotion affleure au gré de séquences magnifiquement tenues par le regard intense de Riz Ahmed, ange déchu condamné à un isolement plus terrifiant que n'importe quel solo de heavy metal."
Le Journal du Dimanche - Alexis Campion

"Privé de bruit et de fureur, un musicien réapprend difficilement le monde qui l’entoure. Un coup d’essai impressionnant. (...) Ce ne sera pas un film sur la chute d’un homme, ni même vraiment sur sa remontée. Plutôt autre chose : une nage entre deux eaux."
Les Inrockuptibles - Jacky Goldberg

Durée : 100mn

Avec Shohei Tanaka, Yukiko "You" Ehara, Yui Natsukawa, Kirin Kiki, Hiroshi Abe, Yoshio Harada

Une journée d’été à Yokohama. Une famille se retrouve pour commémorer la mort tragique du frère aîné, décédé quinze ans plus tôt en tentant de sauver un enfant de la noyade. Rien n’a bougé dans la spacieuse maison des parents, réconfortante comme le festin préparé par la mère pour ses enfants et ses petits-enfants. Mais pourtant, au fil des ans, chacun a imperceptiblement changé.

Bonus : Making of.

Critique presse

"Still Walking (titre repris d'une chanson entendue dans le film) embrasse en moins de cent vingt minutes vingt-quatre heures qui contiennent des vies entières. Kore- eda, (...) fait ici preuve d'une sûreté de toucher en harmonie avec la modestie apparente de son ambition." Le Nouvel Observateur

"Le réalisateur célébré de Nobody Knows revient aujourd'hui avec le film léger et magistral que l'on était en droit d'attendre de son talent." Cahiers du Cinéma

Informations complémentaires :
Avec un soupçon d'humour, de chagrin et de mélancolie, Kore-Eda nous donne à voir une famille comme toutes les autres, unie par l'amour, les ressentiments et les secrets.

Durée : 4h22

Avec Elisa Carricajo, Juliana Muras, Cecilia Rainero, Rafael Spregelburd, Ezequiel Pierri, Laura Paredes

Une femme disparaît. Deux hommes partent à sa recherche aux alentours de la ville de Trenque Lauquen. Ils l’aiment tous les deux et chacun a ses propres soupçons quant aux raisons de cette disparition. Les circonstances vont cependant se révéler plus étranges que prévues.

Bonus : Entretien avec la réalisatrice, Masterclass au Festival FIFF de Créteil, Le film vu par Camille Nevers.

Critique presse

""Trenque Lauquen" est de ces films miraculeux qui nous rappellent combien le cinéma possède une capacité unique à se tenir dans le monde comme sur un terrain de jeu et à se servir de la fiction pour modeler la réalité à l'infini, comme chez Feuillade ou Rivette."
Cahiers du Cinéma - Marcos Uzal

"Cette première partie du film de Laura Citarella est une démonstration magistrale, gorgée de cinéma et d’idées dans lesquelles la fiction est reine."
Les Fiches du Cinéma - Florent Boutet

"Le film est prodigieux de bout en bout et en tout point, autant dans sa manière de naviguer et d’investir différents genres avec une immense ambition romanesque que dans sa façon de se fractionner, se désintégrer pour mieux se régénérer et renaître au cœur d’une nouvelle bifurcation."
Les Inrockuptibles - Ludovic Béot

Informations complémentaires :
En deux parties et douze chapitres, "Trenque Lauquen" croise les récits de ses différents personnages et cartographie une ville. De la découverte d’une ancienne correspondance amoureuse dans une bibliothèque à de mystérieuses apparitions près d’un lac, la pampa n’a pas encore révélé tous ses secrets…

Durée : 116mn

Avec Paul Tinto, Simon Russell Beale, Eddie Marsan, Jude Law, Alicia Vikander, Bryony Hannah

Catherine Parr est la sixième femme du roi Henri VIII, dont les précédentes épouses ont été soit répudiées, soit décapitées (une seule étant décédée suite à une maladie). Avec l’aide de ses dames de compagnie, elle tente de déjouer les pièges que lui tendent l’évêque, la cour et le roi...

Critique presse

"Ce n'est pas la moindre des qualités du réalisateur Karim Aïnouz d’avoir privilégié ses acteurs dans sa mise en scène, où d'autres auraient préféré le faste et les effets. "Le jeu de la reine" n'en est que plus beau et convaincant."
Franceinfo Culture - Jacky Bornet

"Barbu, ogresque, tour à tour séducteur et terrifiant de cruauté, Jude Law est méconnaissable dans la peau du tyran rongé par la gangrène. Une réussite."
Le Point - La Rédaction

"Au cœur des ténèbres et des lueurs furtives d’un château, le réalisateur brésilien Karim Aïnouz filme comme un Rembrandt en clair-obscur le duel paranoïaque entre le roi Henri VIII, despote obèse et pourri, et sa sixième reine, l’indépendante et altière Catherine Parr."
Dernières Nouvelles d'Alsace - Nathalie Chifflet

Durée : 121mn

Avec Nadja Sabersky, Maeve Metelka, Joel Basman, Damian Hardung, Bekim Latifi, Paula Beer

Stella grandit à Berlin sous le régime nazi. Elle rêve d’une carrière de chanteuse de jazz, malgré toutes les mesures répressives. Finalement contrainte de se cacher avec ses parents, sa vie se transforme en une tragédie coupable.

Bonus : Interview du réalisateur, Affiches cinéma alternatives, bande-annonce.

Critique presse

"Paula Beer excelle dans l'interprétation de ce personnage ambivalent, écrasé par la peur et condamné à perpétuité au sentiment de culpabilité. Un film trouble et dérangeant."
Elle - Françoise Delbecq

"Sans être une réhabilitation qui n’a pas lieu d’être, "Stella - Une vie allemande" éclaire d’un jour inédit un pan de l’histoire, tout en favorisant l’émotion."
Franceinfo Culture - Jacky Bornet

"Surtout, on recommande de voir le long-métrage pour la prestation inouïe qu’y livre Paula Beer. La comédienne allemande de 28 ans impressionne une fois de plus en incarnant de façon flamboyante, bouleversante, terrifiante toutes les facettes du personnage…"
La Parisien - Renaud Baronian

Informations complémentaires :
Inspiré de la véritable histoire de Stella Goldschlag.

Durée : 101mn

Avec Lilli Falk, Nele Ahrensmeier, Luis Noah Witte, Johann Karthaus, Sandra Hüller, Christian Friedel

Le commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss, et sa femme Hedwig s’efforcent de construire une vie de rêve pour leur famille dans une maison avec jardin à côté du camp.

Bonus : Making of.

Critique presse

"Comment résumer en une poignée de lignes un tel électrochoc, dont la densité ne cesse de s'affirmer à chaque visionnage ? Au-delà de l’intelligence de sa mise en scène, "La zone d’intérêt" est un chef-d'œuvre de viscéralité, de ceux qui restent en vous longtemps après la séance. Un grand film sur l’indicible de la Shoah, et un grand film tout court."
Ecran Large - Antoine Desrues

"L’expérience sensorielle convoque les images que le film relègue au hors-champ. "La zone d’intérêt" bascule par moments au bord de l’insoutenable, et elle se doit de l’être : cela constitue la preuve de la volonté du réalisateur d’éviter à tout prix la mise en spectacle, bien que le long métrage développe incontestablement une esthétique."
L'Humanité - Cyprien Caddeo

Durée : 162mn

Avec Austin Butler, Josh Brolin, Javier Bardem, Zendaya, Rebecca Ferguson, Timothée Chalamet

Paul Atreides s’unit à Chani et aux Fremen pour mener la révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille. Hanté par de sombres prémonitions, il se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers.

Bonus : "Formation Chakobsa" : création et apprentissage de la langue Fremen, "Création du monde Fremen" : visite des décors avec le chef décorateur Patrice Vermette, "A la découverte des mondes de Dune" : recherche des décors naturels du film, "Le Buzz autour du nouvel "Orni"" : création de l’ornithoptère de Rabban, "Chevauchement de vers" : la création de ce moment marquant du film, "Devenir Feyd" : préparation de Austin Butler pour son rôle, "Une garde-robe flambant neuve" : visite de l’atelier de Jacqueline West, "Plus profond dans le désert : Les sons de Dune" : rencontre avec Hans Zimmer, les concepteurs sonores et les mixeurs son.

Critique presse

"Colossal et monstrueux. Une réussite implacable. Un blockbuster spectaculaire, intelligent, complexe, d’une beauté époustouflante et d’une ambition rare qui surpasse même le premier film. Un space opera comme le cinéma l'attend depuis longtemps."
Filmsactu - Veronica Sawyer

"Plus fort, plus beau, plus grand, plus passionnant : en montant de plusieurs crans par rapport à son premier "Dune", pourtant déjà extraordinaire, Denis Villeneuve réussit tous ses paris."
Le Parisien - Renaud Baronian

"Blockbuster splendide, pas très loin d'une œuvre d'art hypnotisante qu'on ne se lasse pas d'observer dans chaque recoin du cadre, "Dune 2" confirmera, on l'espère, l'aspiration des foules à un autre genre d'épopée venue d'ailleurs."
Le Point - Philippe Guedj

Durée : 145mn

Avec Kevin Durand, Travis Jeffery, Lydia Peckham, Owen Teague, Freya Allan, Peter Macon

Plusieurs générations après le règne de César, les singes ont définitivement pris le pouvoir. Les humains, quant à eux, ont régressé à l'état sauvage et vivent en retrait. Alors qu'un nouveau chef tyrannique construit peu à peu son empire, un jeune singe entreprend un périlleux voyage qui l'amènera à questionner tout ce qu'il sait du passé et à faire des choix qui définiront l'avenir des singes et des humains...

Bonus : Aucun

Critique presse

"Pas de doute, la franchise culte relancée en 2011 ne perd rien de sa puissante force évocatrice. Et se double d’un grand spectacle auxquels des effets spéciaux à la pointe donnent une ampleur inédite."
La Voix du Nord - Christophe Caron

"Entre blockbuster et récit initiatique, "La planète des singes - Le nouveau royaume" offre un terrain fertile pour explorer les enjeux complexes de l’héritage de César et par extension celui de la saga."
Les Inrockuptibles - Arnaud Combe

"Finie la métaphore, place à l’action. A la fois récit initiatique (...), grand film d’aventure multipliant les scènes ébouriffantes et film d’infiltration nerveux (...), ce "Nouveau royaume" rappelle au fond que le film de 1968 était autant une réflexion politique qu’une véritable série B, fun et excitante."
Première - Pierre Lunn

Durée : 8h41

Avec Imelda Staunton, Dominic West, Lesley Manville, Jonathan Pryce, Elizabeth Debicki, Ed McVey

L’histoire d’amour entre la princesse Diana et Dodi Al Fayed est brutalement interrompue par un accident de voiture à l’issue fatale. Le prince William tente de reprendre le cours de sa vie à Eton après le décès de sa mère, tandis que la monarchie subit les foudres de l’opinion publique. Alors qu’elle s’apprête à célébrer son jubilé d’or, la reine réfléchit à l’avenir de la monarchie face au mariage à venir de Charles et Camilla et à la romance royale de William et Kate. 10 épisodes.

Critique presse

"En mêlant intelligemment la grande et la petite histoire, en donnant le sens du temps qui passe et en invitant à lire entre les lignes, à se documenter et à réfléchir à notre monde contemporain, "The Crown" s’annonce dès sa première saison comme une grande série historique."
Le Monde - Marjolaine Boutet

"La série explore tout, des manigances de la cour, aux influences de la famille, en passant par la complexe relation qu'entretient la couronne d'Angleterre avec le Premier Ministre. Une peinture historique et politique du Royaume-Uni, aussi minutieuse que captivante."
Première - Charles Martin

Durée : 5h12

Avec Alassane Diong, Xavier Robic, Benjamin Biolay, Ana Girardot, Nina Meurisse, Pascal Vannson

Comme à chaque fin de saison, la grande famille du foot français fête ses héros. Tout bascule quand devant les caméras, Fodé Thiam, la star du Racing, assène un violent coup à son entraineur et le traite de "sale toubab". "Toubab", cela signifie "blanc" en wolof. Sidération : la tempête médiatique peut commencer. Appelée au chevet du club, Sam Berger, communicante de talent mais dévorée par son hypersensibilité, pressent que cette fois la crise ne sera pas balayée par un nouveau scandale plus "vendeur". Depuis la scène de son théâtre toujours complet, Marie Kinsky instrumentalise l’événement en attisant les déchirures identitaires et sociales qui lézardent le pays. 6 épisodes.

Bonus : Aucun

Durée : 8h00

Avec Harry Richardson, Taissa Farmiga, Denée Benton, Louisa Jacobson, Morgan Spector, Carrie Coon

1883, au matin de Pâques. Bertha Russell apprend que l'Académie de musique a refusé sa proposition de loge. Elle va alors défier Mme Astor et l’ancien système et s’efforcer non seulement de prendre pied dans la société, mais aussi d’y jouer un rôle de premier plan. Quant à George Russell, il se bat contre un syndicat dans son aciérie de Pittsburgh. A Brook House, Marian tente de trouver sa voie en enseignant clandestinement dans une école de filles, tandis qu'Ada, à la surprise de tous, fait une rencontre amoureuse. A Brooklyn, la famille Scott se remet péniblement d'une révélation choquante et Peggy laisse libre cours à son esprit militant en acceptant de travailler avec T. Thomas Fortune au New York Globe. 8 épisodes.

Bonus : "L’Elite Noire : d’hier à aujourd’hui", "Derrière le rideau doré", "Des personnages remarquables", "Le Pouvoir de Peggy", "Lumière sur : Ada, Agnes, Bertha, George, Marian et Peggy", "Un drame raffiné : Carrie, Cynthia, Denée et Morgan", "La Réplique préférée : Carrie, Denée et Louisa", "Qui vois-tu en couple ? : Ada, Agnes, Bertha, Marian et Peggy", "Choisissez votre camp : Carrie, Christine, Cynthia, Denée, Morgan et Julian", "Le Véritable âge d’or avec Carrie, Cynthia et Morgan".

Critique presse

"Le créateur de "Downton Abbey" Julian Fellowes offre une savoureuse chronique des rivalités entre nouveaux riches et vieille élite dans le New York de 1880. Une réussite."
Le Figaro - Constance Jamet

Durée : 3h00

Avec Patrick d' Assumçao, Samuel Churin, Machita Daly, Laurent Stocker, Samir Guesmi, Léa Drucker

L’humanitaire est-il soluble dans la politique ? C’est la question que pose avec malice le parcours de Marie Tessier, patronne d’ONG reconnue pour son intégrité, soudain confrontée aux codes de la realpolitik à l’occasion d’un passage sous les ors de la République. "L’époque n’est pas au débat mais au clash", explique à Marie sa pragmatique conseillère en communication. Dont acte : contrainte dès sa prise de poste de gérer une prise d’otages au Sahel, la débutante commence par enchaîner les bévues avant d’apprendre à maîtriser les règles du jeu, pour tenter de les employer à bon escient. 6 épisodes.

Bonus : Bande-annonce, Previously, Rencontre avec l'équipe.

Critique presse

"Un décalage perpétuel entre l'anodin et le drame que fait pétiller la performance de Léa Drucker, pas vraiment aidé par son conseiller (l'excellent Samir Guesmi). Le prix de la meilleure série française décroché au festival Séries Mania doit beaucoup à sa sincérité."
Le Figaro Magazine - Constance Jamet

"Cette comédie politique excentrique, que l'on aurait suivie bien au-delà de six petits épisodes, accueille une Léa Drucker qui donne à son personnage de ministre outsider épaisseur et puissance."
Les Inrockuptibles - Olivier Joyard

"La réalisation d’Erwan Le Duc est d’ailleurs pour beaucoup dans la fluidité burlesque de la série, et il ne faut pas hésiter à s’offrir un second visionnage pour en apprécier toutes les subtilités."
Le Monde - Audrey Fournier

Durée : 6h19

Avec Jodie Foster, Kali Reis, Fiona Shaw, Finn Bennett, John Hawkes, Isabella Star LaBlanc

Alors qu’une longue nuit d’hiver tombe sur la ville d’Ennis, en Alaska, les huit hommes en charge de la station de recherche arctique de Tsalal disparaissent sans laisser de traces. Pour résoudre l’affaire, les détectives Liz Danvers et Evangeline Navarro vont devoir affronter leurs propres démons et creuser les vérités à la recherche des secrets les plus enfouis. 6 épisodes.

Bonus : A la rencontre des nouveaux "True Detectives", Nouveau chapitre, Exploration de la culture Inuit, Test de Rorschach, Le décor, Récapitulatifs des épisodes.

Avec Kelsey Asbille, Cole Hauser, Wes Bentley, Kelly Reilly, Luke Grimes, Kevin Costner

Dans le Montana, la famille Dutton possède le plus grand ranch des Etats-Unis près du parc national de Yellowstone. Menée par le patriarche John, la famille se bat contre des politiciens et des promoteurs immobiliers, pour que l’on n’empiète pas sur ses terres, notamment pour une réserve indienne. 39 épisodes.

Durée : 78mn

Avec Nuris Blu, Laura Bernis, Laura Gómez, Ben Temple, Bruna Cusí, Alberto Ammann

Projetant de démarrer une nouvelle vie aux Etats-Unis, Diego et Elena quittent Barcelone pour New York. Mais à leur arrivée à l’aéroport, la police des frontières les interpelle pour les soumettre à un interrogatoire. D'abord anodines, les questions des agents se font de plus en plus intimidantes. Diego et Elena sont alors gagnés par le sentiment qu'un piège se referme sur eux...

Bonus : Entretiens avec Alejandro Rojas et Juan Sebastián Vasquez.

Critique presse

"La justesse de situations (les interprètes se sont renseignés auprès de véritables agents de l’immigration pour adopter leurs attitudes) rend profondément mal à l’aise avant un dénouement aux allures de coup de théâtre remarquablement orchestré."
20 Minutes - Caroline Vié

"Paranoïaque, absurde et tristement réel, "Border Line" est une petite pépite de suspense impressionnante pour un premier film."
Ecran Large - Alexandre Janowiak

"Leur thriller anti-spectaculaire, en huis clos et quasi-temps réel, sonne vrai et universel."
L'Obs - Nicolas Schaller

Durée : 118mn

Avec Hugo Ng, Fish Liew, Hiroyuki Ikeuchi, Mason Lee, Yase Liu, Ka Tung Lam

Dans les bas-fonds de Hong-Kong, un flic vétéran et son jeune supérieur doivent faire équipe pour arrêter un tueur qui s’attaque aux femmes, laissant leur main coupée pour seule signature. Quand toutes leurs pistes s’essoufflent, ils décident d’utiliser une jeune délinquante comme appât.

Bonus : Interview du réalisateur Soi Cheang, Making of, Galerie de projets d'affiches.

Critique presse

"Thriller crépusculaire conçu en crescendo d’action, physiquement et émotionnellement épuisant, "Limbo" remet sur le devant de la scène un auteur oublié (ou perdu), autant qu’il réveille les fantômes d’une industrie autrefois d’une richesse inouïe."
Culturopoing.com - Vincent Nicolet

"Tourné il y a cinq ans en couleur mais passé en noir et blanc pour en atténuer la violence, censuré en Chine, cet inoubliable cauchemar urbain doit sa sortie en salle à sa double consécration méritée (Grand prix et Prix de la critique) au Festival Reims Polar. A ne pas manquer."
L'Obs - N. S.

"Le choix du noir et blanc, la lumière, la manière dont les plans sont surchargés, la création de décors sordides et monumentaux (décharges publiques géantes, bidonvilles, etc.) témoignent d’une virtuosité assez rare dans le genre. (...)"
Le Monde - J.-F.R.

"Evidemment, ce parti pris radical, cette esthétique de l'extrême ont de quoi secouer le spectateur, l'amener du côté de la fascination ou du dégoût. Ici, la fiction vire au réalisme le plus cru, le plus cruel aussi."
Le Point - Jean-Luc Wachthausen

Durée : 125mn

Avec Vicky Krieps, Danny Huston, W. Earl Brown, Garret Dillahunt, Solly McLeod, Viggo Mortensen

Dans les années 1860, Vivienne Le Coudy, une Canadienne française farouchement indépendante, entame une relation avec Holger Olsen, un immigrant danois.

Bonus : Making of, entretiens avec Viggo Mortensen et Vicky Krieps.

Critique presse

"Avec "Jusqu’au bout de monde", Viggo Mortensen livre un film passionnant qui est aussi une belle histoire d’amour."
20 Minutes - Caroline Vié

"Sans esbroufe, avec une mise en scène tout en retenue où la caméra prend le temps de capturer les prestations des acteurs, Mortensen construit un univers palpable."
CinemaTeaser - Aurélien Allin

"C'est dans le traitement du temps que "Jusqu'au bout du monde" gagne ses galons de grand film. Le rappel médiéval introduit une construction qui ne cesse de jongler avec le passé, le présent et le futur, en enchaînant flash-back et flash-fowards, sans jamais nous perdre, tout en requérant l'attention du spectateur."
Franceinfo Culture - Jacky Bornet

Durée : 90mn

A quoi ressemble la vie de petites filles qui rêvent de devenir des danseuses étoiles ? Elles ont entre 6 et 10 ans. A la maison, à l’école ou dans la rue, elles vivent la danse avec passion. Mais comment grandir dans un monde de travail intensif, d’exigence et de compétitions quand on est si petite ?

Bonus : Interview de la réalisatrice Anne-Claire Dolivet, interview de Mathias Théry, capsules vidéo : Les débuts des petites danseuses / Que sont devenues les petites danseuses ?

Critique presse

"Mais l’intérêt de ce film subtil, c’est qu’il met aussi en évidence le plaisir de ces gamines passionnées, qui n’en oublient pas pour autant de s’éclater sur leur téléphone portable. Surtout, il brosse le portrait touchant et inspirant d’une prof de danse qui prône avec humour et bienveillance la compétition et le dépassement de soi, mais pas la concurrence ni les résultats à tout prix."
Le Parisien - La Rédaction

"Avec poésie et délicatesse, ce premier long métrage d’Anne-Claire Dolivet met en lumière Jeanne, Ida, Olympe et Marie, quatre jeunes danseuses aux parcours bien distincts qui illustrent la complexité d’une enfance vécue entre pression et passion."
Les Fiches du Cinéma - Amélie Leray

"Ce documentaire raconte la somme d'exigence et de minutie demandée. Mais aussi leur rapport à une prof aussi sévère que juste, personnage de cinéma incroyable (...)."
Ouest France - Thierry Chèze

Durée : 101mn

Bella et Vipulan ont 16 ans, une génération persuadée que leur avenir est menacé. Changement climatique, 6ème extinction de masse des espèces… d’ici 50 ans leur monde pourrait devenir inhabitable. Ils ont beau alerter mais rien ne change vraiment. Alors ils décident de remonter à la source du problème : notre relation au monde vivant. Tout au long d’un extraordinaire voyage, ils vont comprendre que nous sommes profondément liés à toutes les autres espèces. Et qu’en les sauvant, nous nous sauverons aussi. L’être humain a cru qu’il pouvait se séparer de la nature, mais il est la nature. Il est, lui aussi, un Animal.

Bonus : Scènes coupées, essais comédiens.

Critique presse

"Le documentaire a les défauts et les qualités de ses deux jeunes héros. Une fraîcheur qui peut confiner à la naïveté. Mais aussi une lucidité contagieuse, avec des élans politiques, des propos percutants, des séquences édifiantes."
La Voix du Nord - Catherine Painset

""Animal", c’est un petit manuel de lutte, remarquablement filmé, pour sauver le climat et la biodiversité. Et donc les humains."
L'Humanité - Emilio Meslet

""Animal" est doté de grandes qualités : il dit des choses essentielles, donne la parole à des personnalités inspirantes (comme le passionnant philosophe Baptiste Morizot ou la primatologue et anthropologue anglaise, Jane Goodall) et croit ferme dans le pouvoir du cinéma à influencer un futur respirable. LE film à voir en famille actuellement."
Bande à part - Anne-Claire Cieutat

"Même s’il utilise le prétexte d’un tour du monde de deux adolescents pour décrire la pollution de la planète, la surexploitation des ressources et la destruction de l’habitat des animaux, ce film est une merveilleuse histoire, distrayante et instructive pour tous les publics. Il redonne même un peu d’espoir."
Le Figaro - Marc Cherki

Durée : 82mn

Hiam Abbass a quitté son village palestinien pour réaliser son rêve de devenir actrice en Europe, laissant derrière elle sa mère, sa grand-mère et ses sept sœurs. Trente ans plus tard, sa fille Lina, réalisatrice, retourne avec elle sur les traces des lieux disparus et des mémoires dispersées de quatre générations de femmes palestiniennes. Véritable tissage d’images du présent et d’archives familiales et historiques, le film devient l’exploration de la transmission de mémoire, de lieux, de féminité, de résistance, dans la vie de femmes qui ont appris à tout quitter et à tout recommencer.

Bonus : Entretien avec Lina Soualem.

Critique presse

"Suivant le fil ténu et sensible de la mémoire, Lina Soualem inscrit l’histoire de sa mère et la sienne dans celle d’une lignée de femmes palestiniennes."
L'Humanité - Sophie Joubert

"En remontant les fils de son passé familial, l’actrice et réalisatrice filme de manière intime la douleur de la perte et de l’exil de tout un peuple au moment où celle-ci est réactivée par les événements à Gaza."
La Croix - Céline Rouden

"Ce récit bouleversant, qui résonne très fortement avec l’actualité, est tissé avec beaucoup de délicatesse grâce à des photos, mais aussi des lectures de poèmes ou des scènes rejouées par Hiam Abbas elle-même."
Le Parisien - Catherine Balle

Durée : 5h12

"Apocalypse" raconte la Seconde Guerre mondiale à travers le regard de ceux qui l'ont vécue : autant les soldats sur les champs de bataille ou les civils en fuite que les grands chefs. Stratégie militaire et témoignages du quotidien se mêlent dans cette série documentaire exceptionnelle, constituée exclusivement d'images d'archives et construite comme une grande fresque cinématographique. Un choc sans précédent, pour que les générations se souviennent de l'apocalypse... 6 épisodes.

Bonus : DVD 1 : Documents filmés du Service Cinéma des Armées (30mn env) : La marine française à Dunkerque, L'armée polonaise reconstituée en France, Femmes dans les usines d'armement, La présence française au Liban, réconfort des heures sombres, L'aviation française. DVD 2 : Documents filmés du Service Cinéma des Armées (29mn env) : Daladier à Bizerte, Les troupes indigènes dans l'armée française d'Italie, Pierre Laval et le Service du Travail Obligatoire (STO), Les forces Navales Françaises Libres, Le général de Gaulle à Londres le 11 novembre 1942, Le général de Gaulle et Winston Churchill à Paris. DVD 3 : Making of de 52mn sur Apocalypse.

Informations complémentaires :
Une série documentaire présentée à l'occasion des commémorations du 70ème anniversaire du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale.

Selon Isabelle Clarke, pour la première fois, une série documentaire embrasse la Seconde Guerre dans sa globalité, s’intéressant aux stratégies et enjeux géopolitiques internationaux mais aussi s’attardant sur le visage des hommes et des femmes, racontant leur quotidien. "Apocalypse est une série à hauteur d’homme : on pénètre à la fois dans la tête des grands chefs et dans celle des victimes, des sans-grade. Voilà la guerre telle qu’on ne l’a jamais vue : humaine, “atroce et familière”, pour reprendre l’expression employée par Fabrice Puchault qui était responsable du projet, au commencement."

Durée : 86mn

Il s’appelle Alexandre, Ricardo ou Daniel. Il se dit chirurgien ou ingénieur, argentin ou brésilien. Il vit avec quatre femmes en même temps, adaptant à chacune son récit et même ses traits de caractère. Enquête à la première personne, avec l’aide d’un détective privé, sur un imposteur aux mille vies imaginaires.

Bonus : 3 scènes coupées.

Critique presse

"Ni flic, ni juge, ni psy, Sonia Kronlund ne cherche pas à dompter un secret. A sa fenêtre de conteuse, elle en augmente la saveur romanesque."
Les Inrockuptibles - Gérard Lefort

"A la fois drôle et sidérant, ce documentaire se regarde comme un thriller haletant et une aventure de solidarité féminine."
Elle - Françoise Delbecq

"Loin de se laisser seulement magnétiser par la personnalité trouble de Ricardo, le documentaire a le souci de créer des personnages, un flamboyant collectif de femmes lésées mais ironisant sur leur sort."
Le Monde - M. Jo.

Durée : 97mn

En 2007 à Téhéran, Reyhaneh Jabbari, 19 ans, poignarde l’homme sur le point de la violer. Elle est accusée de meurtre et condamnée à mort. A partir d’images filmées clandestinement, "Sept hivers à Téhéran" montre le combat de la famille pour tenter de sauver Reyhaneh, devenue symbole de la lutte pour les droits des femmes en Iran.

Bonus : Entretien avec la réalisatrice et Shole Pakravan, Feuillet Amnesty International, bande-annonce.

Critique presse

"C’est aussi, et surtout, une charge terrible contre la justice des mollahs, pour qui les femmes sont toujours coupables, et les hommes, innocents. Un documentaire choc et salutaire."
L'Obs - Jérôme Garcin

""Sept hivers à Téhéran", auréolé de deux prix à la dernière Berlinale, est une secousse. Emotionnelle et politique."
Première - Estelle Aubin

"La famille de Reyhaneh Jabbari, pendue en 2014 pour avoir poignardé un homme qui tentait de la violer, témoigne dans le premier long-métrage de l’Allemande Steffi Niederzoll. Un cri dans la nuit des femmes en Iran."
Le Dauphiné Libéré - Nathalie Chifflet

Informations complémentaires :
"Sept hivers à Téhéran" raconte l’histoire de Reyhaneh Jabbari, jeune femme iranienne de 19 ans, condamnée à mort par le régime pour avoir tué son agresseur qui tentait de la violer après l'avoir attirée dans un guet-apens. Nous passons sept années avec elle, dans son combat, avec sa mère, sa soeur, son père et tous leurs soutiens. C'est une très grande histoire émotionnelle et politique qui raconte les violences faites aux femmes en Iran et montre une société coupée en deux. A l'injustice qui est faite à Reyhaneh, fait face sa grandeur d'âme, son courage, sa joie de vivre malgré tout. S'ajoute aussi la révolte de la société iranienne et de sa jeunesse. Car le film s’inscrit dans une actualité brulante de soulèvement contre le régime des mollahs en Iran, où la révolution tente de se faire grâce aux femmes. L’héroïsme de Reyhaneh Jabbari et de sa famille ont contribué à inspirer la rébellion de cette jeunesse et d’alerter la communauté internationale.

Durée : 76mn

A Memphis, une des villes américaines les plus sinistrées, la Stax Music Academy fait figure d’oasis. Fondée sur l'héritage du label légendaire des années 60 qui accompagna la lutte pour les Droits Civiques, cette école de musique, extra-scolaire et gratuite, permet à des adolescents passionnés d'apprendre et de comprendre l'Histoire noire américaine à travers la découverte des plus grands tubes de la Soul. Un voyage musical dans le temps et une plongée dans la pensée d'une nouvelle génération.

Bonus : Entretien avec le réalisateur, commentaire audio de Hugo Sobelman (réalisation), Dorian Hays (image), Maxime Mathis (montage) et Nicolas Mollet (son).

Critique presse

"Brillamment réalisé, ce petit bijou musical et politique en état de grâce fait l’éloge bouleversant de l’art comme construction de soi et reconstruction du monde."
Les Fiches du Cinéma - Gaël Reyre

"En laissant hors champ l’extrême violence qui mine la ville de Memphis, le réalisateur est en accord avec les enseignants qui, à travers des échanges où il n’est plus tellement question de musique, invitent les élèves à déconstruire les récits que l’on assigne par automatisme aux Afro-américains."
Cahiers du Cinéma - Vincent Poli

"Le réalisateur français Hugo Sobelman signe un superbe documentaire mêlant musique afro-américaine et réflexion sur les ravages du racisme et de la ségrégation. Le film est actuellement dans les salles : montez le son et ouvrez les oreilles."
Marianne - Emmanuel Tellier

Durée : 53mn

Poétiques, amusants, créatifs, montrez à votre enfant ce qui se fait de mieux dans le monde en animation ! 6 courts métrages.

Bonus : 5 courts métrages des Gobelins, Affiche animée 2023.

Informations complémentaires :
- "Entre deux soeurs", de Clément Céart et Anne-Sophie Gousset (2022, 7mn19) :
Entre deux sœurs, il y a de la complicité et des rires. Entre deux sœurs, il y a l’amour comme moteur. Entre ces deux sœurs-là, il y a un petit quelque chose en plus et c’est très bien comme ça.

- "Harvey", de Janice Nadeau (2023, 9mn04) :
Un regard poétique et lumineux sur le deuil d’un enfant à l’imagination débordante et sur sa façon d’échapper à la disparition d’un parent.

- "L'oie du plus fort", de Jan Míka (2023, 12mn30) :
Un jeune garçon rêve de devenir footballeur professionnel et de jouer dans les plus grands stades. Mais pour cela, il doit d’abord gagner un match dans une petite cour, contre une oie.

- "Paperplanes", d'Arvind Singh Jeena (2022, 6mn52) :
Une classe bruyante de CM1 turbulents est prise au dépourvu quand le professeur arrive à l’improviste avec un test de dessin surprise.

- "Pete", de Bret Parker (2022, 7mn) :
Une histoire réelle, basée sur l'identité de genre, le baseball et les personnes inspirant le changement en étant juste elles-mêmes.

- "Qu'y a-t-il dans la boîte ?", de Bram Algoed (2023, 9mn28) :
L'histoire d'un pilote, d'un capitaine, d'un machiniste, d'un chauffeur, d'un facteur, d'une fille... et d'une boîte géante. Qu'y a-t-il dans la boîte, la boîte géante que le pilote a ramenée d'un pays très très lointain ?

Durée : 59mn

Les collections "En sortant de l’école" proposent d’associer aussi librement que talentueusement des poèmes à l’univers graphique de jeunes réalisateurs. L’objectif est double : offrir à de jeunes talents l’occasion de réaliser un premier film professionnel, et rendre accessible aux enfants l’univers et les mots de nos poètes. 13 courts métrages.

Bonus : Making of.

Critique presse

"Douceur, rêve, imaginaire sublimé (...) Ces courts métrages réalisés par de jeunes artistes dans de multiples techniques croisent la pensée et les mots de treize poètes et poétesses francophones."
Télérama

Informations complémentaires :
- "Tu es...", de Mohammad Babakoohi (2023, 3mn) :
Deux cailloux se rencontrent dans un paysage irréel et nouent une amitié mouvante. Ils cheminent ensemble jusqu'à ne former qu'un.

- "Une amitié", d'Arthur Catteau (2023, 3mn) :
Après de longues années d'absence, une femme déclare son amitié à son bateau. Leurs retrouvailles donnent vie aux sensations du passé.

- "Abri", de Julie Daravan Chea (2023, 3mn) :
En colonie de vacances, deux amies sont surprises par l'orage. Pour vaincre leur peur, elles inventent un univers avec leurs mains.

- "Mon ami le chien", de Violeta Cortes (2023, 3mn) :
Une nuit, un chien visite la tombe de son maître bien aimé. Le temps d'une danse macabre au milieu des étoiles, il le ramène auprès de lui.

- "C'est demain dimanche", d'Aliénor Doublet (2023, 3mn) :
Un enfant solitaire rencontre son ami imaginaire. Avec lui, tout est permis et surtout, tout est possible.

- "A Alfred Tattet", de Léa Dutter (2023, 3mn) :
Un magicien désenchanté retrouve la joie de vivre grâce à son plus vieil ami, un pigeon farfelu et infatigable. Ensemble, ils chantent l'amitié.

- "A l'ami choisi", de Florian Genthial (2023, 3mn) :
Dans cette opérette, deux enfants témoins d'une dispute découvrent que l'amitié est un refuge permettant de dépasser leurs peurs.

- "Arbre de Noël", de Thibault Llonch (2023, 3mn) :
Deux arbres séparés par tout un monde nouent amitié par leurs racines !

- "L'amie Gamma", de Katya Mikheeva (2023, 3mn) :
Une bergère d'étoiles est-elle amie avec ses astres ? Un voyage au coeur de la relation à soi et aux autres.

- "Le monde", de Baptiste Ratajski (2023, 3mn) :
Un petit garçon, accompagné d'une mésange, explore un grand mystère : l'amitié du monde.

- "Bouquet", de Cécile Robineau (2023, 3mn) :
Parfois l'amitié naît au détour d'un bouquet de fleurs... et de la rencontre entre l'enfance et la vieillesse.

- "C'était un bon copain", de Charlotte Saunders (2023, 3mn) :
Une vieille photo de classe, des souvenirs et le voyage d'un homme qui recherche un ami perdu...

- "L'amitié", de Léon Verdé (2023, 3mn) :
Les vacances, la chaleur de l'été, l'ennui. Et soudain, une voix se fait entendre, comme la promesse d'une amitié.

Durée : 68mn

Eleveuse de rennes nomade, la jeune Krisha vit avec sa famille sur les steppes de la toundra sibérienne. Lorsque sa mère tombe malade, Krisha écoute les conseils d'une vieille chamane et part à la recherche d'un mystérieux ours rouge qui lui est apparu en rêve. Il veille sur les peuples de cette terre gelée et se fait appeler le Maître de la Forêt.

Bonus : Introduction au film : "Comprendre les Nénètses et l'animation en volume", Courts métrages de Park Jae-beom : "Big Fish" (9mn, 2017) et " Snail Man" (21mn, 2019).

Critique presse

"Film d’une beauté rare, empli d’allégories et de trouvailles visuelles, "Krisha et le maître de la forêt" s’impose ainsi comme une ode à l’innocence et à la transmission du savoir, ainsi qu’un grand récit d’aventure à la portée universelle."
Culturopoing.com - Alexandre Lebrac

"Le soin apporté aux décors fait ressentir toutes les matières, poils d’animaux, laine, forêt. Le charme des créatures réside aussi dans les traits du visage, lequel est articulé en deux parties, conférant aux personnages des allures de poupées."
Le Monde - CI. F.

"Une adorable enfant issue d’une tribu de nomade recherche un être légendaire afin de sauver sa mère. Un conte politique sud-coréen en stop-motion, qui sublime la puissance de la nature."
Télérama - Cécile Mury

Informations complémentaires :
Les Nenets (ou Nénètses), dont s’est inspiré Jaebeom Park pour le film, sont un peuple autochtone de Russie qui vit à proximité du cercle polaire. Ils sont 45 000, dont 10 000 d’entre eux maintiennent avec dévotion leur mode de vie ancestral.

Durée : 100mn

Deux jeunes filles se retrouvent séparées de leur famille à la suite d’un cataclysme. Elles qui ne se connaissaient pas, se retrouvent perdues et sans toit. Elles rencontrent une vieille dame qui offre de les recueillir dans sa maison à l’écart du village. Cette opportunité de repartir à zéro est d'un grand soulagement, jusqu’au jour où d’étranges phénomènes commencent à apparaître...

Critique presse

"Un film magnifique et délicat sur la résilience."
Les Fiches du Cinéma - Gilles Tourman

"S’il veut avant tout distraire un public familial, Kawatsura a aussi un propos et, si légères qu’elles soient, ses "suspensions" apportent une épaisseur inhabituelle à cette histoire simple. De l’art subtil de laisser infuser les sentiments..."
Télérama - Stéphane Jarno

Informations complémentaires :
Dans les contes et légendes japonaises, une "Mayoiga" (le titre en version originale) est une maison qui bénit les voyageurs perdus. Cette demeure, ancrée dans les légendes de la région d’Iwate, octroierait couvert et bonne fortune à ses visiteurs. Fiction inspirée de faits réels, "La maison des égarées" est une adaptation d’un roman de Sachiko Kashiwaba.

Durée : 82mn

L’incroyable histoire de Michael, 11 ans, parti faire un tour du monde à la voile avec ses parents, avant qu’une terrible tempête ne le propulse par-dessus bord avec sa chienne Stella. Echoués sur une île déserte, comment survivre ? Un mystérieux inconnu vient alors à leur secours en leur offrant à boire et à manger. C’est Kensuké, un ancien soldat japonais vivant seul sur l’île avec ses amis les orangs-outans depuis la guerre. Il ouvre à Michael les portes de son royaume et lorsque des trafiquants de singes tentent d’envahir l’île, c’est ensemble qu’ils uniront leurs forces pour sauver ce paradis…

Critique presse

"Un sage film d'animation en forme de récit d'apprentissage bienveillant, sur la réparation, la consolation et le respect de la nature."
Dernières Nouvelles d'Alsace - Nathalie Chifflet

"Un magnifique film d'animation, à partager en famille."
Franceinfo Culture - Laurence Houot

"Adaptation brillante d’un best-seller jeunesse de Michael Morpurgo, ce récit initiatique narrant les aventures d’un enfant et d’un ancien soldat japonais naufragés sur une île déserte interroge notre rapport à la nature."
La Croix - Stéphane Dreyfus

Durée : 110mn

Shenxiu, une fillette de 10 ans, est aspirée dans les profondeurs marines durant une croisière familiale. Elle découvre l’univers fantastique des abysses, un monde inconnu peuplé d’incroyables créatures. Dans ce lieu mystérieux émerge le Restaurant des abysses, dirigé par l’emblématique capitaine Nanhe. Poursuivis par le Fantôme Rouge, leur route sera semée d’épreuves et de nombreux secrets. Leur odyssée sous-marine ne fait que commencer.

Bonus : Making of.

Critique presse

""Le royaume des abysses" nous raconte l’odyssée sous-marine dans laquelle se trouve embarquée l’héroïne du film, Shenxiu. Le typhon qui l’aspire lors d’une croisière en famille et qui l’entraîne au fond de l’océan ouvre, en réalité, la brèche vers un monde intérieur, celui de la conscience, des émotions et des fantasmes. Tourbillon que l’animation et la bande-son transforment en véritable expérience sensorielle."
Le Monde - Véronique Cauhapé

"Que ce soit pour sa narration houleuse ou sa technique subjuguante, "Le royaume des abysses" est une déferlante qui pourrait ne pas faire l'unanimité, mais ne laissera certainement personne indifférent."
Ecran Large - Déborah Lechner

"Tian Xiaopeng convoque diverses technologies digitales et dessins à l’encre pour inventer, en 3D, une fabuleuse parade de bestioles et marins imaginaires. Avec le multivers, que nous raconte la sensation d’immersion à laquelle s’attache littéralement ce long-métrage ? Notre besoin d’évasion sans doute, mais aussi le sentiment d’habiter un présent en impasse."
Les Echos - Adrien Gombeaud

Informations complémentaires :
"Le royaume des abysses" mêle 3D et influences de la peinture traditionnelle chinoise à l’encre pour représenter au mieux l’imaginaire d’une petite fille et le flux de ses émotions, le réalisateur a estimé qu’il fallait une animation fluide et colorée : “Nous avons finalement décidé de créer un effet de « peinture aux particules d’encre » pour représenter cela. Cet effet permet de faire fusionner l’impressionnisme de la peinture chinoise à l’encre avec le réalisme de l’animation par ordinateur, préservant ainsi la spontanéité et l’individualité de la peinture à l’encre tout en maintenant la profondeur de champ de la scène, ainsi que les variations d’ombre et de lumière (...).”

Durée : 27mn

Sur une lointaine planète vivaient Edouard et Jeannette, un Toubleu et une Tourouge. Par un beau matin, ces deux-là tombèrent amoureux. Malheureusement pour eux, les Tourouges et les Toubleus ne se mélangent pas, et bien plus encore : ils se détestent depuis des générations..

Bonus : Aucun

Critique presse

"D’une naïveté désarmante, cet hymne à la tolérance aux airs de Roméo et Juliette séduit par son environnement extraterrestre (planètes diverses, bestiaire farfelu, plantes carnivores), dans une animation 3D en simili-pâte à modeler."
Télérama - Nicolas Didier

Durée : 70mn

Début du XXème siècle, dans le nord de l’Italie, à Ughettera, berceau de la famille Ughetto. La vie dans cette région étant devenue très difficile, les Ughetto rêvent de tout recommencer à l’étranger. Selon la légende, Luigi Ughetto traverse alors les Alpes et entame une nouvelle vie en France, changeant à jamais le destin de sa famille tant aimée. Son petit-fils retrace ici leur histoire.

Bonus : Making of.

Critique presse

"Alternant l’humour façon comédie sociale italienne de la grande époque (Monicelli, Scola, Risi), sujets graves [...] et effets de style lorgnant du côté du cinéma fantastique des origines à la Méliès, l’auteur nous invite à un fabuleux voyage poético-réaliste dans les trésors enfouis de son passé dont la puissance d’évocation vise à concilier histoire intime et universalité dans ce que la condition humaine contient de plus précieux et de plus inaltérable : la transmission et la mémoire."
L'Ecran Fantastique - Laurent Silvestrini

"Ses aïeuls ont fui la pauvreté en Italie et migré en France. Le cinéaste retrace leur odyssée et leur rend hommage dans ce film magnifique, pétri de poésie."
Télérama - Guillemette Odicino

Durée : 88mn

Amsterdam, 12 juin 1942. Anne fête ses 13 ans et commence son Journal qu’elle appellera "Kitty". A l’abri de la menace allemande, deux années durant, la jeune fille confiera ses vues idéalistes sur le monde, ses ambitions, ses craintes et la naissance de son premier amour, Peter.

Bonus : Les coulisses de la bande originale, interview exclusive du cousin d’Anne Frank, Fiches personnages, Repères historiques, clip : "Anne ma soeur Anne" de Louis Chedid.

Durée : 99mn

Ladybug va devoir unir ses forces avec Chat Noir, le charismatique justicier masqué qui n’a pas sa langue dans sa poche, pour affronter le Papillon et sa horde de super-vilains, alors que ceux-ci menacent de détruire Paris. Mais, alors que les deux héros se rapprochent, Marinette ignore que derrière son mystérieux complice se cache Adrien, le camarade de classe dont elle est amoureuse…

Bonus : Making of, scènes coupées.

Critique presse

"L’Opéra Garnier, le Louvre, les toits de Paris et bien sûr la tour Eiffel, sont toujours au cœur de "Miraculous". Le tout est agrémenté de chansons, comme dans les Disney. L’histoire, simple mais efficace, parle de peur, de courage et d’amour."
Le Parisien - La Rédaction

"Ce blockbuster d'animation musical, à la française, bénéficie d'un dessin soigné, et de jolies séquences d'action. On est emporté par son allant et cette romance inavouée qui traverse l'intrigue..."
Le Figaro - O.D

Durée : 99mn

Sur le chemin du retour d’une mission de routine, Pierrot, Psi et leur robot Métro assistent à un étrange phénomène dans l’espace : de gigantesques vaisseaux s’assemblent afin de réaliser des exercices de tir. La puissance déployée est gigantesque ! Mais lorsque nos héros décident d’en rendre compte à la confédération d’Oméga, leur vaisseau est pris dans une turbulence. Ils échouent alors sur une planète hostile. Psi est capturée par des humanoïdes tandis que Pierrot est sauvé par un groupe d’hommes qui vit secrètement dans les montagnes…

Bonus : Commentaire audio d'Albert Barillé, piste musicale isolée de Michel Legrand, "Il était une fois... la restauration" : making of réalisé en 2022, bande-annonce originale, bande-annonce 2022.

Durée : 87mn

Ruby Gillman est une étudiante douce et maladroite qui découvre qu’elle est une descendante directe des reines guerrières kraken. Les krakens ont juré de protéger les océans du monde contre les sirènes avides de pouvoir.

Bonus : Scènes coupées, Le kraken : mythe ou monstre, Les anecdotes du bal, Super copines de la mer, Fabrique ton aquarium.

Durée : 136mn

Avec Art Malik, Noma Dumezweni, Javier Bardem, Melissa McCarthy, Jonah Hauer-King, Halle Bailey

Ariel, la benjamine des filles du roi Triton, est une jeune sirène belle et fougueuse dotée d’un tempérament d’aventurière. Rebelle dans l’âme, elle n’a de cesse d’être attirée par le monde qui existe par-delà les flots. Au détour de ses escapades à la surface, elle va tomber sous le charme du prince Eric. Alors qu'il est interdit aux sirènes d'interagir avec les humains, Ariel sent pourtant qu’elle doit suivre son cœur. Elle conclut alors un accord avec Ursula, la terrible sorcière des mers, qui lui octroie le pouvoir de vivre sur la terre ferme, mais sans se douter que ce pacte met sa vie - et la couronne de son père - en danger...

Bonus : Aucun

Critique presse

"Ce spectacle à lui seul, qui rend délicieusement vivant le légendaire dessin animé sans le dénaturer, justifie le prix du ticket de cinéma : il y a là de quoi faire ouvrir de grands yeux aux petits comme aux grands."
Le Point - Elise Lépine

"Une relecture moderne enthousiasmante, le tout, sur des images envoûtantes, et des notes de musique réconfortante."
Marie Claire - Juliette Hochberg